Amitabha Bouddha
Amitabha est un Bouddha très vénéré dans le bouddhisme Mahayana, en particulier les bouddhistes qui suivent la Terre Pure. Son nom signifie « lumière infinie » ou « vie infinie ». Il représente la compassion infinie des Bouddhas, et est représenté comme une couleur riche et chaude au coucher du soleil.
Au Tibet, où le bouddhisme Mahayana (une autre branche du Mahayana) est fait, Amitab est l'un des cinq Bouddhas symboliques non historiques et règne dans 5 directions différentes dans la chronologique.
Les autres Bouddhas de cet ensemble comprennent: en position centrale Vairocana, à l'Est Akshobhya, dans le sud Ratnasambhava et au nord Amekhasiddhi.
Amitabha Bouddha est d'une grande importance dans le bouddhisme oriental, où il s'appelle A Mi Da (Amida). Il a également une forme de bodhisattva appelée Amitayus, qui signifie « vie innombrables ». Dans certaines traditions, Amitabha et Amitayus sont décrits dans la même nature, mais dans d'autres écoles, c'est différent.
Amitabha est souvent représenté avec 2 aides: Bodhisattvas Quan Ying, qui apparaît à sa gauche et le Grand Bodhisattva, qui apparaît à sa droite.
Avec la compassion infinie, le Bouddha d'Amitabha a « créé » la Terre Pure au monde de l'ouest comme lieu pour les bouddhistes pour pratiquer après avoir quitté le monde physique.
Selon certains des Sutras de la Terre Pure est ce que nous pouvons penser d'un univers parallèle ou alternatif construit par le mérite infini d'un Bouddha dans ses innombrables pratiques.
Dans le monde de l'ouest, le Bouddha nous aide dans notre pratique pour garder la bonne voie de la pratique pour atteindre l'illumination. Vous n'avez pas à vous soucier de gagner de l'argent, de trouver un endroit pour vivre ou de prendre le temps de méditer. Vous êtes né dans une fleur de lotus, et les enseignements du Bouddha sont partout. À partir des oiseaux et l'eau s'écoule vers les feuilles, sur les branches en contenant tous les enseignements.
La Terre pure est une sorte de « paradis » pour lequel de nombreux bouddhistes aspirent à la naissance. Cette aspiration est le thème central de ce que l'on appelle le bouddhisme de la Terre pure. Par conséquent, de nombreux bouddhistes de cette école appellent souvent le titre de Bouddha d'Amitabdha à travers une pratique appelée « méditation Bouddha ».
Beaucoup de gens croient que le Bouddha Amitabha peut leur apporter toutes les qualités de l'illumination, mais il est particulièrement important de se concentrer sur lui à la mort. Pour ce faire, vous devez méditer sur le Bouddha Amitabha et répéter votre mantra.
Comme beaucoup d'autres tantra, Amitab viennent en différentes versions et commencent souvent avec le serf « Om ». "Om" est dit être le premier son de l'univers. C'est très intéressant quand il semble signifier le Big Bang qui a créé l'univers.
Les trois joyaux.
Hommage au Bouddha. Shakyamuni, mais aussi les autres Bouddhas, du passé, du présent, du futur et l'éveil lui-même.
Hommage à l'enseignement du Bouddha, la loi, l'ordre de l'univers, la réalité t'elle qu'elle existe.
Hommage à la communauté des disciples du Bouddha, moines et moniales et qui inclut les adeptes laïcs au sens large.
Le bouddhisme maison de mon âme.
Le chemin d’une discipline est toujours un parcours semé de facilité et de complexité ; qui se mêlent, s’emmêlent pour nous mener à des horizons censés être différent de notre point de départ. Pour que le voyage soit réussi, nos bagages doivent être bien préparés. Le dépaysement propice à l’ouverture de la pensée. Les sens en éveil pour profiter de chaque saveur, odeurs, sensations… Ces écrits sont le carnet qui va suivre se parcourt. Son but : référencer des idées, aider à la réflexion, cheminer des courants et aussi revenir si besoin sur les compréhensions incomprises ou déformé par le travail du voyage. Tout en étant un repaire, ces écrits ne souhaitent en aucun cas modifier le regard porté au ciel ou creuser la terre pour lui extraire des ressources encore inconnues.
Cette envie de créer ce carnet de voyage, résulte d’une prise de conscience que toute chose évolue. Cette donnée sera poussée par des modifications de mon ego, mais aussi de mes oublies. Pour lutter contre ce dernier point, le recueilles parait opportun pour y revenir autant de fois que nécessaire.
Le voyage a commencé, il y a fort longtemps. Plus de 2000 ans pour les hommes et pour ma part cela faisait partie de ma personne depuis un temps si important que je ne me souviens pas de son commencement. L’Asie contré si lointaine et inlassablement si proche de mon quotidien. Prit par des automatismes en son commencement, puis illuminé par des lectures, il aura fallu un temps certain pour toucher avec mes yeux le dessein tant espéré.
Pour bien commencer, il est important de comprendre ce que nous faisons.
Le premier point est le billet de départ du voyage. Pourquoi réciter des mantras sans rien comprendre, s’agenouiller devant des statues par mimétisme, avancer en aveugle ? Le paysage est coloré, complexe, mais riche en matières multiples. Réaliser des rites sans les avoirs assimilés et intégrés en nous répondant à suivre un courant de pensée au hasard, les yeux fermés dans un espoir de trouver un jour peut être un chemin. Le Bouddhisme est avant tout un sentier conscient qui est pris à un instant pour profiter de ce même moment éphémère. Et pour cela l’analyse et la compréhension de nos actes sont les prérequis pour un bon voyage. L’enseignement Bouddhiste permet cette compréhension.
Mais pourquoi pousser les portes d’une pagode ou regarder des vidéos sur Internet ou lire des livres sur cette ouverture ? La recherche d’une autre vie ? Découvrir une philosophie ? Jusqu’à peu, je ne savais pas ! Depuis tant d’année ce voyage me tendait les bras… Mais ne comprenant pas l’attirance puissante et surtout si incompréhensible, le premier pas fut dure. Car comprendre est le fondement du départ. Le début du chemin pour ma part sera que méditant de très longues dates, apprendre plus à ce sujet aura été ce point de départ.