Sūtras de la Terre Pure Sukhāvatī du Bouddha Amitābha -
Un livre très précieux - joyau qui libère du samsara dès la fin de cette vie - contenant les Trois Principaux Sūtras du Bouddha Amitābha sous différentes versions. Quiconque se dit Adepte de la Terre Pure du Bouddha Amitābha ne peut négliger de connaître et d’étudier ces Sūtras.
Période d’édition : Hiver 2017 - Disponible depuis le 20 Janvier 2017
Nombre : 100 exemplaires imprimés - 174 pages
Contenu : les Sūtras Principaux du Bouddha Amitābha.
https://sutra-majeur-mahayana.amitabha-terre-pure.net/livre-sutras-amitabha.php
Voeu 1
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, un enfer, un royaume d’esprits avides et un royaume d’animaux sont présents en ma terre, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 2
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les humains et les devas en ma terre chutent dans les royaumes inférieurs après leur mort, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 3
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les humains et les devas de ma terre ne sont pas de couleur d’or, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 4
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les humains et les devas ne sont pas d’une seule apparence, et ont la moindre différence de beauté, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême
Voeu 5
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les humains et les devas de ma terre ne peuvent se remémorer leurs vies passées, ainsi que les événements qui ont eu lieu au cours des centaines de millier de kotis de nayutas de kalpas passés, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 6
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les humains et les devas de ma terre ne possèdent pas l’œil divin permettant de voir ne serait-ce qu’une centaine de milliers de kotis de nayutas de terres de Bouddha, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 7
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les humains et les devas de ma terre ne possèdent pas l’ouïe divine permettant d’entendre les enseignements d’au moins une centaine de milliers de kotis de nayutas de bouddhas sans les oublier, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 8
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les humains et les devas de ma terre ne possèdent pas la faculté de lire les pensées d’autrui, tout au moins ceux des êtres sensibles vivant dans une centaine de milliers de kotis de nayutas de terres de bouddha, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 9
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les humains et les devas de ma terre ne possèdent pas le pouvoir surnaturel de se rendre en tout lieu en un instant, même au delà d’une centaine de milliers de kotis de nayutas de terres de bouddha, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 10
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les humains et les devas de ma terre laissent naître des pensées d’attachement à soi, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 11
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les humains et les devas ne demeurent pas au stade de non régression et immanquablement n’atteignent pas le nirvāṇa, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 12
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, ma lumière est limitée, incapable d’illuminer au moins une centaine de milliers de kotis de nayutas de terres de bouddha, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 13
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, mon espérance de vie est limitée, même d’au moins une centaine de milliers de kotis de nayutas de kalpas, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 14
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, le nombre de śrāvakas dans ma terre peut être connu, et cela même si tous les êtres et pratyekabouddhas vivant dans l’univers d’un millier de millions de mondes les comptent pendant une centaine de milliers de kalpas, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 15
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les humains et les devas ne jouissent pas d’une espérance de vie illimitée, excepté quand ils font le souhait de la raccourcir en accord avec leurs Vœux originels, puissé je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 16
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les humains et les devas entendent parler ne serait-ce que d’une seule mauvaise action, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 17
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, d’innombrables bouddhas dans les terres des dix directions ne font pas l’éloge et la gloire de mon nom, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 18
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les êtres sensibles des terres des dix directions de l’espace qui sincèrement et avec plein de joie me font complètement confiance, désirent renaître dans ma terre, et appellent mon nom, même dix fois, ne renaissent pas en mon lieu, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême. Sont exclus, cependant, ceux qui ont commis les cinq fautes graves et qui ont offensé le juste Dharma.
Voeu 19
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les êtres sensibles des terres des dix directions de l’espace, qui font naître l’aspiration au grand Éveil, accomplissent des actions vertueuses et sincèrement désirent renaître dans ma terre, ne peuvent pas à l’heure de leur mort me voir apparaître en compagnie d’une multitude de sages, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 20
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les êtres sensibles des terres des dix directions de l’espace, ayant entendu mon nom, concentrent toutes leurs pensées sur ma terre, plantent des racines de vertu, et sincèrement transfèrent leurs mérites à l’endroit de ma terre avec le désir d’y renaître, ne peuvent pas réaliser leur aspiration, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 21
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les humains et les devas ne sont pas dotés des trente-deux marques physiques d’un grand homme, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 22
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les bodhisattvas des terres pures des bouddhas des autres directions qui visitent ma terre n’atteignent pas ultimement et de façon certaine l’état de Bouddha en une seule vie supplémentaire, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême. Exceptés sont ceux qui souhaitent enseigner et guider les êtres sensibles en accord avec leurs vœux originels. La raison en est qu’ils portent l’armure des grands vœux, accumulent des mérites, délivrent tous les êtres de la naissance et de la mort, visitent les terres de bouddha pour accomplir les pratiques des bodhisattvas, font des offrandes aux bouddhas, aux Tathāgatas, à travers les dix directions de l’espace, éveillent d’innombrables êtres sensibles aussi nombreux que les sables du Gange, et les établissent dans le plus haut éveil. De tels bodhisattvas transcendent le chemin ordinaire des bodhisattvas, manifestent les pratiques de tous les niveaux de bodhisattva, et cultivent les vertus de Samantabhadra.
Voeu 23
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les bodhisattvas de ma terre, afin de faire des offrandes aux bouddhas à l’aide de mon pouvoir transcendant, ne peuvent pas atteindre d’incommensurables et d’innombrables kotis de nayutas de terres de bouddha aussi rapidement qu’il faut pour prendre un repas, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 24
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les bodhisattvas de ma terre ne peuvent pas, selon leurs souhaits, accomplir des actes de mérites en vénérant les bouddhas à l’aide d’offrandes de leur choix, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 25
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les bodhisattvas de ma terre ne peuvent pas exposer le Dharma avec la sagesse tout-connaissante, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 26
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, il y avait un quelconque Bodhisattva de ma terre non doté du corps du dieu vajra Narayana, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 27
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les êtres sensibles peuvent, même à l’aide de l’œil divin, distinguer par le nom et calculer par le nombre toutes les myriades de manifestations produites pour les humains et les devas de ma terre, lesquelles sont glorieuses et resplendissantes et ont d’exquis détails au-delà de toute description, puissé-je ne pas réaliser l’éveil parfait.
Voeu 28
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les bodhisattvas de ma terre, même ceux ayant de faibles mérites, ne peuvent voir l’arbre de la bodhi au nombre de couleurs infini et dont la hauteur s’étend sur quatre millions de yojanas, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 29
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les bodhisattvas de ma terre n’obtiennent pas l’éloquence et la sagesse de préserver, réciter et exposer les sūtras, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 30
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, la sagesse et l’éloquence des bodhisattvas de ma terre sont limitées, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 31
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, ma terre n’est pas resplendissante, révélant à travers sa lumière tous les incommensurables, innombrables et inconcevables terres de Bouddha, comme des images reflétées dans un miroir, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 32
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, toutes les myriades de manifestations dans ma terre, du sol jusqu’au ciel, tels que des palais, papillons, étangs, cours d’eaux et des arbres, ne sont pas composées à la fois de trésors sans nombre, lesquels surpassent par excellence toute chose dans les mondes des devas et des humains, et d’une centaine de milliers de genre d’arbres parfumés, dont le parfum pénètre tous les mondes des dix directions, encourageant tous les bodhisattvas qui le sentent à accomplir les pratiques bouddhistes ; alors puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 33
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les êtres sensibles des inconcevables et innombrables terres de bouddha des dix directions, qui ont été touchés par ma lumière, ne jouissent pas d’une paix et d’un bonheur surpassant ceux des devas et des humains, puissé-je ne pas réaliser le suprême éveil.
Voeu 34
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les êtres sensibles des inconcevables et innombrables terres de bouddha des dix directions, qui ont entendu mon nom, ne gagnent pas la vison éminente de la production de tous les dharmas et n’obtiennent pas divers profonds dhāraṇīs, puissé-je ne pas réaliser le suprême éveil.
Voeu 35
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les femmes des incommensurables et inconcevables terres de Bouddha des dix directions, qui ont entendu mon nom, se réjouissent avec foi, génèrent l’aspiration à l’éveil et souhaitent renoncer à leur féminité ; renaissent après la mort en tant que femmes, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 36
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les bodhisattvas des terres de bouddha en nombre incalculable et inconcevable, qui ont entendu mon nom, après la fin de leurs vies, ne peuvent toujours pas accomplir des pratiques sacrées jusqu’à l’obtention de la bouddhéité, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 37
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les humains et les devas des inconcevables et innombrables terres de bouddha des dix directions, qui ayant entendu mon nom, se prosternent sur le sol par vénération et adoration, se réjouissent avec foi, et accomplissent les pratiques de bodhisattvas ; ne sont pas respectés par tous les devas et gens du monde, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 38
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les humains et les devas n’obtiennent pas de vêtements aussi tôt que l’envie naît dans leurs esprits, et si les fines robes prescrites et dont les bouddhas font l’éloge ne sont pas immédiatement produites pour eux, et si ses robes ont besoin d’un quelconque soin, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 39
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les humains et les devas dans ma terre ne jouissent pas du bonheur et du plaisir comparable à ceux d’un moine libre de toutes passions, puissé-je ne pas réaliser le suprême éveil.
Voeu 40
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les bodhisattvas de ma terre qui souhaitent voir les incommensurables glorieuses terres de bouddha des dix directions ; ne peuvent pas les voir toutes réfléchies dans les arbres de matières précieuses, tout comme quand on voit son visage reflété dans un clair miroir, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 41
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les bodhisattvas des autres terres des dix directions qui entendent mon nom, à n’importe quel moment avant de devenir des bouddhas, ont des organes des sens déficients, puissé-je ne pas atteindre l’éveil suprême.
Voeu 42
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les bodhisattvas des terres des dix directions qui entendent mon nom n’atteignent pas tous le samādhi appelé pure émancipation et, y demeurant, sans distraction aucune, ne sont pas capable de faire des offrandes en un instant à d’inconcevables et innombrables bouddhas, honorés-du-monde, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 43
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les bodhisattvas des autres contrées des autres directions qui entendent mon nom ne renaissent pas après leurs morts dans des familles nobles, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 44
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les bodhisattvas des autres contrées des autres directions qui entendent mon nom ne se réjouissent pas jusqu’à danser et accomplir les pratiques de bodhisattvas et n’obtiennent pas d’innombrables mérites, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 45
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les bodhisattvas des terres des autres contrées qui entendent mon nom n’atteignent pas le samādhi appelé égalité universelle et, y demeurant, ne peuvent pas pour toujours voir les inconcevables et innombrables Tathāgatas jusqu’à devenir eux-mêmes des bouddhas, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 46
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les bodhisattvas de ma terre ne sont pas capables d’entendre spontanément les enseignements qu’ils souhaitent, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 47
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les bodhisattvas des autres contrées des autres directions qui entendent mon nom n’atteignent pas instantanément le stade de non régression, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême.
Voeu 48
Si, quand j’atteindrai la bouddhéité, les bodhisattvas des autres contrées des autres directions qui entendent mon nom ne gagnent pas instantanément la première, seconde et troisième vision éminente dans la nature des dharmas et ne se maintiennent pas fermement dans les vérités réalisées de tous les bouddhas, puissé-je ne pas réaliser l’éveil suprême