Très succinctement, le Bouddha Amitabha très présent en Asie, propose une Terre Pure plus facilement atteignable que les autres Terres Pures des autres Bouddhas, qui demande un très haut développement spirituel. Cette Terre Pure, dite Terre Pure de l’Ouest est un lieu spirituel. Ce n’est pas un paradis, c’est un lieu résultant des mérites de ce Bouddha. Suivant le travail spirituel, philosophique que nous réalisons, ce Bouddha nous permet d’accéder dans ce lieu qui représente notre vrai nature sans souffrance et sans temporalité dans une sorte de rêve. Cela est assez complexe à expliquer et si le sujet vous intéresse je vous laisse vous rapprocher de lieu d’étude du Bouddhisme de la Terre Pure.
Le fait d’évoquer son nom, permet la libération du Samsara et mettre fin aux renaissances. Dit comme cela tous semble simple. Il est important de comprendre que cela est simple en théorie mais complexe sur la méthode. Accéder à mon sens à la Terre Pure du Bouddha Amitabha est un exercice très compliqué ou chaque seconde de notre vie nous devons nous interroger sur nos actes, penser etc… J’imagine que la récitation réalisée avec sens, nous permet de poser les bonnes graines plus facilement. Même si le mot facilement inspire la facilité, l’art lui reste un labeur de chaque instant ou notre âme ne demande qu’à alléger ces mauvais karmas.
Amitābha, Amitāyus, Amida, āmítuófó ; jap. : 阿弥陀仏 (Amida-butsu) ; ko. : 아미타불 (Amitabul) ; viet. : A di đà Phật (阿彌陀佛) ). On trouve également son nom traduit littéralement du Sanskrit : ainsi Amitābha devient ch. trad. : 無量光佛 ; ch. simp. : 无量光佛 ; py : wúliàngguāng fó ; jap. : 無量光仏 (muryōkō-butsu) ; lit. : « Bouddha de Lumière Infinie ») et Amitāyus devient ch. trad. : 無量壽佛 ; ch. simp. : 无量寿佛 ; py : wúliàngshòu fó ; jap. : 無量寿仏 (muryōju-butsu) ; lit. : « Bouddha Longévité-Infinie ».
Il est conseillé de réciter en chantant le Bouddha
La récitation à mon sens n’est pas une formule magique de la rédemption.
Cela est une formule de vie.
Elle doit s’accompagner d’une vie équilibrée sur le chemin des pratiques Bouddhistes.
La course à l’éveil est un frein à la plantation des bonnes graines.
Nous sommes un tout, nous sommes un rien. Lorsque notre égo sera tombé, le chemin des Bouddhas sera le notre et l’éveil ne sera qu’une lumière.