Nam-mô A-di-đà Phật
La pagode Quan Am Hanh Nguyen est un lieu ouvert à tous !
Ce lieu vous accueil sur rendez-vous pour différents programmes. Vous pouvez venir retrouver Su’ Cô pour des moments de méditations, enseignements, accompagnement des défunts et pratiques Bouddhiste.
Vous pouvez aussi trouver des activités comme du Qi Gong,
séjours de resourcement personnel et plus encore.
La pagode est ouverte toute l’année et nous vous attendons avec plaisir.
La pagode est un lieu de prière. Le Bouddhisme n’étant pas une religion théiste, la pratique s’articule sur les trois joyaux, sur les archétypes des qualités que l’Homme doit développer, aux guides spirituels issus d’une lignée authentique ininterrompue depuis le bouddha historique Shakyamouni.
Ceux d'entre vous qui ont une petite compréhension de base du bouddhisme sauront que le bouddhisme n'est pas un médicament qui peut guérir toutes les maladies de l'univers, ni le seul outil pour pouvoir vivre en société. Donc, si vous êtes étudiant, vous n'avez pas à abandonner vos études pour apprendre le bouddhisme car la connaissance du monde est essentielle pour que vous puissiez vivre avec. Les personnes qui étudient le bouddhisme doivent également connaître d'autres domaines scientifiques.
Et ne vous méprenez pas sur le fait que le bouddhisme est autre chose que l'étude de la souffrance ou la pratique du dharma pour se libérer de la souffrance (dans l'esprit). Le bouddhisme n'est pas une religion pour répondre aux questions sur la superstition, le destin, le propriétaire du karma, les vies passées ou futures ou les démons, les anges, etc.
Prendre refuge, c'est développer l'intention altruiste, l'intention parfaitement pure, et donc développer le cœur d'une pratique continue. Nous dédions pour finir ce mérite, cette activité positive, au bénéfice de tous les êtres, dans l'intention qu'ils obtiennent tous la libération, la réalisation de l'état de Bouddha.
La méditation est la méthode subjective ou directe qui nous permet d'élever le niveau de notre conscience, en travaillant directement sur l'esprit lui-même.
La mort n'est définitive que si les rites sont accomplis. Le défunt est reconnu comme tel après les cérémonies funèbres.
Les rites funéraires ne marquent pas seulement une reconnaissance du décès; ils doivent encore assurer au défunt une vie heureuse. Selon les croyances, le défunt n'a pas cessé définitivement de vivre; il entre dans une autre vie. La mort n'est pas la séparation des vivants et des morts, elle est un changement de vie, un commencement une autre vie.
Sous cet angle, la mort n'est pas quelque chose de passif, mais c'est bien une célébration, un rite. Il appartient donc aux vivants, par la mise en place de rites de garantir aux morts une survie paisible et heureuse. On retrouve ici l'origine des rites funéraires célébrés après la mort, après l'enterrement. Le deuil est déclaré après ces cérémonies d'enterrement. C'est maintenant devant la tablette funéraire (remplaçant souvent par sa photo aujourd'hui) du défunt, déposé sur un autel placé à côté de celui des ancêtres que se déroulent les cérémonies ultérieures en son honneur. Elle signifie sa présence parmi ses descendants. La mort a quitté corporellement la maison familiale mais son âme y est revenue et il habite encore là.
Pour info :
Le jour du décès prévenir Su Co qui assistera aux funérailles et accompagnera la famille, 7 jours après la date du décès et une fois par semaine les 7 semaines suivantes venir à la pagode pour prier avec Su Co. Le jour 49, toute la famille se réunit une dernière fois pour une cérémonie à la pagode, une photo sera ajoutée aux autres défunts. Su Co continuera à prier pour eux.
NOUS SOMMES LÀ POUR VOUS AIDER!